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vrijdag 7 juni 2013

Mis-punten

Neen het waren geen insectenbeten die me wakker hielden vannacht.

Wat was het dan wel ? Houd jullie vast!



Het was het loof van de wilde pastinaak.
Als die bloeit dan springen de kopjes open en die hebben weerhaakjes en die dringen in en onder je vel en veroorzaken tweede graads brandwonden.
Enige oplossing van mijn vriendinnen in Cahors deze middag : rode eosine en wachten tot het betert. Kan tot twee weken duren !Hun bezorgde begripvolle gezichten hebben me geholpen de jeuk te boven te komen !

En ik maar zagen over die insecten, zeg !


APPRENONS À RECONNAITRE LE “PANAIS URTICANT” POUR MIEUX L’ÉVITER SUR LES CHEMINS DE DORDOGNE

panais urticant



Quand les grands froids de l’hiver seront derrière nous, les randonneurs vont repartir sillonner la campagne périgourdine. Il ne serait alors pas étonnant qu’ils croisent en chemin le panais sauvage, dont il existe de nombreuses formes spontanées en Europe.

Il pousse sur sol calcaire, dans les prés ou en bords des chemins. Il fleuri en juillet-août avec des inflorescences en ombelles qui nous rapelle qu’il appartient à la famille des APIACEES (autrefois Ombellifères), comme le fenouil ou la carotte. Comme cette dernière sa racine est charnue et était autrefois consommée en légume.

La variété qui nous intéresse ici est le panais urticant (Pastinaca sativa L. subsp. urens ) qui provoque des dermites de contact, qui peuvent être sévères et provoquer chez les sujets sensibles des brûlures du 2e degré.
La sève des panais en général, et spécialement de cette variété, contient des substances (les furanocoumarines) qui ont la propriété de provoquer des réactions cutanées, aggravées sous l’action des rayons solaires par photosensibilisation.
Connu sous le nom de “Pèstanade”, les personnes habituées à parcourir la campagne en été ont très vite appris à l’éviter comme la peste …
Assez fréquent en Dordogne, ( Tessa, bij deze ben je verwittigd!!!!)il est très présent dans les près de la Bigotie. Et nous en avons fait la douloureuse expérience après les séances de maniement de la débroussailleuse pendant lesquelles, inconsciemment mais systèmatiquement, nous nous projetions sur toutes les parties découvertes du corps, un broyat de tiges et feuilles de panais urticant. Résultat : jambes et bras couverts de brûlures purulantes pendant au moins trois semaines… Peu esthétiques et surtout douloureuses… Nous avons appris à nos dépens que pour débroussailler et couper l’herbe il était plus prudent en été (et surtout en été) d’être couvert de la tête aux pieds…

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